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EN DIRECT - Élections législatives: le RN déroule son programme, la majorité priorise «l’arc républicain», la gauche tente d’oublier la «purge»
La France entame son deuxième jour officiel de campagne pour les élections législatives. Il ne reste que 12 jours aux candidats pour convaincre les Français.
Le direct
Faits Essentiels
À retenir
- Le chef de file du RN Jordan Bardella a détaillé son programme dans un entretien au Parisien, promettant notamment l'abrogation de la réforme des retraites «à partir de l'automne», ou encore la baisse de la TVA sur les énergies et le carburant dès cet été en cas de victoire. Mais il lui faudra pour cela «une majorité absolue» à l'Assemblée, a-t-il reconnu.
- Marine Le Pen, elle, a fait savoir qu'elle ne demanderait pas la démission d'Emmanuel Macron en cas de succès, écartant le spectre d'une crise institutionnelle.
- La majorité présidentielle sortante a investi 485 candidats pour les élections législatives, et laissé 67 circonscriptions sans candidat. Au final, sur les 92 circonscriptions non pourvues - dont l'Outremer -, les macronistes affirment en laisser délibérément 67 sans candidat issu de leurs rangs, car «réservées arc républicain».
- Olivier Faure, Clémentine Autain, Marine Tondelier, François Ruffin... À 13 jours du premier tour, plusieurs ténors du Nouveau Front populaire ont appelé à «l'unité» de la gauche, depuis Montreuil, en Seine-Saint-Denis.
- Marine Le Pen, elle, a fait savoir qu'elle ne demanderait pas la démission d'Emmanuel Macron en cas de succès, écartant le spectre d'une crise institutionnelle.
- La majorité présidentielle sortante a investi 485 candidats pour les élections législatives, et laissé 67 circonscriptions sans candidat. Au final, sur les 92 circonscriptions non pourvues - dont l'Outremer -, les macronistes affirment en laisser délibérément 67 sans candidat issu de leurs rangs, car «réservées arc républicain».
- Olivier Faure, Clémentine Autain, Marine Tondelier, François Ruffin... À 13 jours du premier tour, plusieurs ténors du Nouveau Front populaire ont appelé à «l'unité» de la gauche, depuis Montreuil, en Seine-Saint-Denis.